Jeudi 31 mai 2007 à 21:00

Une nouvelle : Narcisse
Il aime à recevoir des lettres.    Plein.    Il
n'en  reçoit  jamais.  Un jour il a  l'idée de
s'en  envoyer.  Il  s'en  envoie.  L'idylle  se
noue.  Le ton monte et il se donne rendez-
vous sous l'horloge à trois heures.   Il y va,
bien habillé. Et à trois heures il se suicide.
* Boris Vian, L'automne à Pékin


Dimanche 27 mai 2007 à 23:43

 - Pour vous les carottes font cuites !
 - Occupez-vous de vos oignons !     .
 - Rhoo fa fuffit avec vos falades !   .

Vous allez difparaître dans LE GRAND POT AU FEU

[ c'était la menace des hommes poireaux ]
 
Vous allez finir en vinaigrette !
Nonnn pas la vinaigrette ! fa pique affreuvement les yeux !


Jeudi 17 mai 2007 à 19:37



Vendredi 4 mai 2007 à 20:50



Ca peut résumer une bonne journée.
La pluie, les gateaux.
Deux guitares.
Un chapeau
De la viande de boeuf, un steak tartare, le retour des super héros sans tête, des malabars, des olives noires, et de l'espoir en ce qui concerne Metallica...

Mardi 1er mai 2007 à 19:02

Moi y'en a pas comprendre ce que vous y'en a me dire.

Les gens reviennent de Grèce et nous on est restés là, la tête hors de l'eau malgré [...] et tout le reste. Eux, ils sont partis avec le soleil et sont revenus sans. L'humeur change et rechange, et [...] c'est à chaque fois un long recommencement. Etrange.
Elle* voulait que je parle du printemps du bonheur de l'été du temps qui passe. Mais le printemps n'est pas fleuri, le bonheur a commencé à fondre avec la pluie, l'été est loin et le temps passera toujours, on a tout le temps de parler du temps.
Ménage de printemps. C'est comme un grand ouragan qui fait du bien à la tête.
C'est drôle comme un blog peut devenir très vite une partie de nous-même. Mais on n'a pas forcément envie de se rappeler de nous-même... C'est un cercle coupé, qui s'évade et s'éloigne, puis revient soudainement vers nous. Et là on recolle les deux bouts.

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